Le monde d’Onyo, l’expérience immersive qui remet le conte au goût du jour
Une expérience immersive, autour de la nature… C’est « Le monde d’Onyo » qui a installé sa yourte et ses contes à Paris pour l’été.
Le monde d’Onyo est une expérience itinérante qui a posé sa yourte à Paris cet été, aux Ateliers Gaîté. Une expérience qui remet l’art du conte au goût du jour. Et, cette fois, ce n’est pas dans une bibliothèque que l’on rend pour écouter un conte mais bien dans un centre commercial.
Deux histoires différentes sont proposées, Les gardiens de la montagne, pierre en main, assis sur un pouf autour d’une source de lumière centrale, on écoute et agit un petit peu. Ainsi que L’arbre soleil où l’on est installé dans une yourte, de façon encore plus confortable.
Les histoires démarrent avec un conteuse, cofondatrice du concept, avait qu’elle ne laisse place à la suite de l’histoire dans un casque audio. Un casque audio de grande qualité et qui coupe tous les sons environnants du centre commercial. Les deux contes ont pour thème la nature et ont la vertu d’être relaxants. Même si l’expérience est recommandée les yeux fermés, on perçoit les lumières changeants – qui font partie du concept – à travers les paupières closes.
Les histoires conviennent aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Toutefois, l’expérience reste assez chère au regard du temps passé d’autant plus que le billet combiné additionne simplement le prix des deux histoires sans proposer de réduction. Néanmoins, on peut profiter de son passage aux Ateliers Gaîté pour s’adonner aux autres loisirs qui ont élu domicile dans le centre commercial : l’action game Time Tripper ou la VR d’Illucity. Smile World est aussi en train de s’installer sur place.
Et, à quelques minutes à pied, il y a aussi les Galeries Montparnasse qui proposent plusieurs activités de loisirs dont l’expérience VR Hôtel Dracula et l‘exposition de Lego The art of the Brick.
Le monde d’Onyo aux Ateliers Gaîté (1er étage)
80 avenue du Maine, Paris 14
Jusqu’au 30/09/2024
De 8 à 24 euros
Crédit photo : Quentin Chevrier